La vie devant soi: un témoignage de tendresse


Quand je suis arrivé à Montpellier, je voulais me plonger dans la culture française de façon absolue. Je voulais tout consommer! En sachant que je lisais avec un appétit vorace, une camarade à l’université m’a recommandé de lire “La vie devant soi”, un roman de Romain Gary. Et quand elle m’a dit qu’il racontait l’histoire d’une femme juive qui a décidé de s’occuper d’un orphelin, j’ai senti un désir incontrôlable de lire cette histoire-là. Dès le début, j’ai su que j’avais ouvert les pages de quelque chose de merveilleuse, quelque chose qu’allais ailleurs d’un simple roman. “La vie devant soi” raconte l’histoire de Madame Rosa, une ancienne prostituée qui a ouvert une pension pour “des gosses qui sont nés de travers”, et de Momo, un enfant musulman qui décrit sa vie particulier à l’intérieur de ce bâtiment-ci, un lieu qui devient un autre personnage de cet histoire. Avec son irrésistible tendresse, “La vie devant soi” est devenu l’une des histoires qui m’ont touché le plus. À la fin on pleure avec un souris sur le visage, une métaphore qui résume l’essence de ce que Gary a été de capable de réussir: un récit douce et chaleureuse et pleine d’innocence: comme l’enfance même. 

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